تم ن ش ره في 15/04/2013
تم نشره في 15/04/2013
INDISPONIBILITE DE BOUTEFLIKA: Jacob Zuma contraint de retarder son arrivée
Algérie Express
Publié le Lundi, 15 Avril 2013 13:25
Écrit par Hamid Guerni
Contrairement
aux sérénades de la télévision nationale et de la presse publique
écrite, le président sud-africain, Jacob Zuma n'est arrivé à Alger que
tôt ce lundi matin. Une arrivée vraisemblablement décalée en raison de
l'indisponibilité, dimanche, du chef de l'Etat Abdelaziz Bouteflika.
Ce dernier était retourné en Suisse où il avait déjà séjourné, après le
retour furtif au pays mercredi pour satisfaire à un engagement
protocole. Samedi, la présidence de la république a informé dans un
communiqué que « le président de la République d'Afrique du Sud, Jacob
Zuma, effectue les 14 et 15 avril 2013 une visite de travail en Algérie,
à l'invitation du président de la république Abdelaaziz Bouteflika. »
La télévision et les journaux publics ont fait comme si Zuma était à
Alger dès dimanche. « Le dialogue politique et la coopération
bilatérale, notamment dans son aspect relatif à la haute commission
binationale, seront au menu des entretiens entre le président Abdelaziz
Bouteflika et le président sud-fricain, Jacob Zuma, qui entreprend à
partir d'hier une visite de travail de deux jours en Algérie », a écrit
El Moudjahid dans son édition d'aujourd'hui. L'APS a rapporté ce matin
que « Jacob Zuma est arrivé tôt lundi matin à Alger pour une visite de
travail de deux jours. » Outre le chamboulement de l'agenda de son
invité, forcé à retarder son arrivée, les déplacements de Bouteflika en
Suisse déroutent aussi ceux qui s'occupent de la communication
présidentielle.
Hamid Guerni
----------------------------------------
VISITE DE JACOB ZUMA EN ALGERIE : Bensalah chargé d'accueillir le président sud-africain
Algérie Express
Publié le Lundi, 15 Avril 2013 20:52
Écrit par Hamid Guerni
C'est
le président du Sénat, Abdelkader Bensalah, qui a du satisfaire au
protocole ce lundi à l'occasion de la visite en Algérie du président
sud-africain Jacob Zuma. C'est lui qui l'a accueilli à son arrivée,
avant l'aube, à l'aéroport international d'Alger et c'est encore lui qui
l'a raccompagné dans l'après-midi, à l'issue de sa visite qui a été
écourtée.
Le chef de l'Etat, dont la charge présidentielle tend à
devenir un supplice, tant il est physiquement affaibli, s'est contenté
de recevoir son invité en audience et de lui offrir un déjeuner au
Palais du peuple. En moins d'une semaine, Bouteflika a effectué trois
déplacements en Suisse, certainement pour des raisons médicales. Depuis
longtemps déjà, il ne se déplace plus à l'étranger et, à présent, il
réduit sa mobilité à l'intérieur du pays. Lui qui affectionnait tant se
rendre aux conférences et forums internationaux, se retrouve contraint,
son troisième mandat finissant, à s'y faire représenter sinon par
Bensalah, sinon Sellal ou encore Tayeb Belaiz, le président du conseil
constitutionnel.
Hamid Guerni
Algérie Express
Publié le Lundi, 15 Avril 2013 13:25
Écrit par Hamid Guerni
Contrairement
aux sérénades de la télévision nationale et de la presse publique
écrite, le président sud-africain, Jacob Zuma n'est arrivé à Alger que
tôt ce lundi matin. Une arrivée vraisemblablement décalée en raison de
l'indisponibilité, dimanche, du chef de l'Etat Abdelaziz Bouteflika.
Ce dernier était retourné en Suisse où il avait déjà séjourné, après le
retour furtif au pays mercredi pour satisfaire à un engagement
protocole. Samedi, la présidence de la république a informé dans un
communiqué que « le président de la République d'Afrique du Sud, Jacob
Zuma, effectue les 14 et 15 avril 2013 une visite de travail en Algérie,
à l'invitation du président de la république Abdelaaziz Bouteflika. »
La télévision et les journaux publics ont fait comme si Zuma était à
Alger dès dimanche. « Le dialogue politique et la coopération
bilatérale, notamment dans son aspect relatif à la haute commission
binationale, seront au menu des entretiens entre le président Abdelaziz
Bouteflika et le président sud-fricain, Jacob Zuma, qui entreprend à
partir d'hier une visite de travail de deux jours en Algérie », a écrit
El Moudjahid dans son édition d'aujourd'hui. L'APS a rapporté ce matin
que « Jacob Zuma est arrivé tôt lundi matin à Alger pour une visite de
travail de deux jours. » Outre le chamboulement de l'agenda de son
invité, forcé à retarder son arrivée, les déplacements de Bouteflika en
Suisse déroutent aussi ceux qui s'occupent de la communication
présidentielle.
Hamid Guerni
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VISITE DE JACOB ZUMA EN ALGERIE : Bensalah chargé d'accueillir le président sud-africain
Algérie Express
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Écrit par Hamid Guerni
C'est
le président du Sénat, Abdelkader Bensalah, qui a du satisfaire au
protocole ce lundi à l'occasion de la visite en Algérie du président
sud-africain Jacob Zuma. C'est lui qui l'a accueilli à son arrivée,
avant l'aube, à l'aéroport international d'Alger et c'est encore lui qui
l'a raccompagné dans l'après-midi, à l'issue de sa visite qui a été
écourtée.
Le chef de l'Etat, dont la charge présidentielle tend à
devenir un supplice, tant il est physiquement affaibli, s'est contenté
de recevoir son invité en audience et de lui offrir un déjeuner au
Palais du peuple. En moins d'une semaine, Bouteflika a effectué trois
déplacements en Suisse, certainement pour des raisons médicales. Depuis
longtemps déjà, il ne se déplace plus à l'étranger et, à présent, il
réduit sa mobilité à l'intérieur du pays. Lui qui affectionnait tant se
rendre aux conférences et forums internationaux, se retrouve contraint,
son troisième mandat finissant, à s'y faire représenter sinon par
Bensalah, sinon Sellal ou encore Tayeb Belaiz, le président du conseil
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Contrairement
aux sérénades de la télévision nationale et de la presse publique
écrite, le président sud-africain, Jacob Zuma n'est arrivé à Alger que
tôt ce lundi matin. Une arrivée vraisemblablement décalée en raison de
l'indisponibilité, dimanche, du chef de l'Etat Abdelaziz Bouteflika.
Ce dernier était retourné en Suisse où il avait déjà séjourné, après le
retour furtif au pays mercredi pour satisfaire à un engagement
protocole. Samedi, la présidence de la république a informé dans un
communiqué que « le président de la République d'Afrique du Sud, Jacob
Zuma, effectue les 14 et 15 avril 2013 une visite de travail en Algérie,
à l'invitation du président de la république Abdelaaziz Bouteflika. »
La télévision et les journaux publics ont fait comme si Zuma était à
Alger dès dimanche. « Le dialogue politique et la coopération
bilatérale, notamment dans son aspect relatif à la haute commission
binationale, seront au menu des entretiens entre le président Abdelaziz
Bouteflika et le président sud-fricain, Jacob Zuma, qui entreprend à
partir d'hier une visite de travail de deux jours en Algérie », a écrit
El Moudjahid dans son édition d'aujourd'hui. L'APS a rapporté ce matin
que « Jacob Zuma est arrivé tôt lundi matin à Alger pour une visite de
travail de deux jours. » Outre le chamboulement de l'agenda de son
invité, forcé à retarder son arrivée, les déplacements de Bouteflika en
Suisse déroutent aussi ceux qui s'occupent de la communication
présidentielle.
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C'est
le président du Sénat, Abdelkader Bensalah, qui a du satisfaire au
protocole ce lundi à l'occasion de la visite en Algérie du président
sud-africain Jacob Zuma. C'est lui qui l'a accueilli à son arrivée,
avant l'aube, à l'aéroport international d'Alger et c'est encore lui qui
l'a raccompagné dans l'après-midi, à l'issue de sa visite qui a été
écourtée.
Le chef de l'Etat, dont la charge présidentielle tend à
devenir un supplice, tant il est physiquement affaibli, s'est contenté
de recevoir son invité en audience et de lui offrir un déjeuner au
Palais du peuple. En moins d'une semaine, Bouteflika a effectué trois
déplacements en Suisse, certainement pour des raisons médicales. Depuis
longtemps déjà, il ne se déplace plus à l'étranger et, à présent, il
réduit sa mobilité à l'intérieur du pays. Lui qui affectionnait tant se
rendre aux conférences et forums internationaux, se retrouve contraint,
son troisième mandat finissant, à s'y faire représenter sinon par
Bensalah, sinon Sellal ou encore Tayeb Belaiz, le président du conseil
constitutionnel.
Hamid Guerni
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Écrit par Hamid Guerni
Contrairement
aux sérénades de la télévision nationale et de la presse publique
écrite, le président sud-africain, Jacob Zuma n'est arrivé à Alger que
tôt ce lundi matin. Une arrivée vraisemblablement décalée en raison de
l'indisponibilité, dimanche, du chef de l'Etat Abdelaziz Bouteflika.
Ce dernier était retourné en Suisse où il avait déjà séjourné, après le
retour furtif au pays mercredi pour satisfaire à un engagement
protocole. Samedi, la présidence de la république a informé dans un
communiqué que « le président de la République d'Afrique du Sud, Jacob
Zuma, effectue les 14 et 15 avril 2013 une visite de travail en Algérie,
à l'invitation du président de la république Abdelaaziz Bouteflika. »
La télévision et les journaux publics ont fait comme si Zuma était à
Alger dès dimanche. « Le dialogue politique et la coopération
bilatérale, notamment dans son aspect relatif à la haute commission
binationale, seront au menu des entretiens entre le président Abdelaziz
Bouteflika et le président sud-fricain, Jacob Zuma, qui entreprend à
partir d'hier une visite de travail de deux jours en Algérie », a écrit
El Moudjahid dans son édition d'aujourd'hui. L'APS a rapporté ce matin
que « Jacob Zuma est arrivé tôt lundi matin à Alger pour une visite de
travail de deux jours. » Outre le chamboulement de l'agenda de son
invité, forcé à retarder son arrivée, les déplacements de Bouteflika en
Suisse déroutent aussi ceux qui s'occupent de la communication
présidentielle.
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C'est
le président du Sénat, Abdelkader Bensalah, qui a du satisfaire au
protocole ce lundi à l'occasion de la visite en Algérie du président
sud-africain Jacob Zuma. C'est lui qui l'a accueilli à son arrivée,
avant l'aube, à l'aéroport international d'Alger et c'est encore lui qui
l'a raccompagné dans l'après-midi, à l'issue de sa visite qui a été
écourtée.
Le chef de l'Etat, dont la charge présidentielle tend à
devenir un supplice, tant il est physiquement affaibli, s'est contenté
de recevoir son invité en audience et de lui offrir un déjeuner au
Palais du peuple. En moins d'une semaine, Bouteflika a effectué trois
déplacements en Suisse, certainement pour des raisons médicales. Depuis
longtemps déjà, il ne se déplace plus à l'étranger et, à présent, il
réduit sa mobilité à l'intérieur du pays. Lui qui affectionnait tant se
rendre aux conférences et forums internationaux, se retrouve contraint,
son troisième mandat finissant, à s'y faire représenter sinon par
Bensalah, sinon Sellal ou encore Tayeb Belaiz, le président du conseil
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Contrairement
aux sérénades de la télévision nationale et de la presse publique
écrite, le président sud-africain, Jacob Zuma n'est arrivé à Alger que
tôt ce lundi matin. Une arrivée vraisemblablement décalée en raison de
l'indisponibilité, dimanche, du chef de l'Etat Abdelaziz Bouteflika.
Ce dernier était retourné en Suisse où il avait déjà séjourné, après le
retour furtif au pays mercredi pour satisfaire à un engagement
protocole. Samedi, la présidence de la république a informé dans un
communiqué que « le président de la République d'Afrique du Sud, Jacob
Zuma, effectue les 14 et 15 avril 2013 une visite de travail en Algérie,
à l'invitation du président de la république Abdelaaziz Bouteflika. »
La télévision et les journaux publics ont fait comme si Zuma était à
Alger dès dimanche. « Le dialogue politique et la coopération
bilatérale, notamment dans son aspect relatif à la haute commission
binationale, seront au menu des entretiens entre le président Abdelaziz
Bouteflika et le président sud-fricain, Jacob Zuma, qui entreprend à
partir d'hier une visite de travail de deux jours en Algérie », a écrit
El Moudjahid dans son édition d'aujourd'hui. L'APS a rapporté ce matin
que « Jacob Zuma est arrivé tôt lundi matin à Alger pour une visite de
travail de deux jours. » Outre le chamboulement de l'agenda de son
invité, forcé à retarder son arrivée, les déplacements de Bouteflika en
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le président du Sénat, Abdelkader Bensalah, qui a du satisfaire au
protocole ce lundi à l'occasion de la visite en Algérie du président
sud-africain Jacob Zuma. C'est lui qui l'a accueilli à son arrivée,
avant l'aube, à l'aéroport international d'Alger et c'est encore lui qui
l'a raccompagné dans l'après-midi, à l'issue de sa visite qui a été
écourtée.
Le chef de l'Etat, dont la charge présidentielle tend à
devenir un supplice, tant il est physiquement affaibli, s'est contenté
de recevoir son invité en audience et de lui offrir un déjeuner au
Palais du peuple. En moins d'une semaine, Bouteflika a effectué trois
déplacements en Suisse, certainement pour des raisons médicales. Depuis
longtemps déjà, il ne se déplace plus à l'étranger et, à présent, il
réduit sa mobilité à l'intérieur du pays. Lui qui affectionnait tant se
rendre aux conférences et forums internationaux, se retrouve contraint,
son troisième mandat finissant, à s'y faire représenter sinon par
Bensalah, sinon Sellal ou encore Tayeb Belaiz, le président du conseil
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Hamid Guerni
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Contrairement
aux sérénades de la télévision nationale et de la presse publique
écrite, le président sud-africain, Jacob Zuma n'est arrivé à Alger que
tôt ce lundi matin. Une arrivée vraisemblablement décalée en raison de
l'indisponibilité, dimanche, du chef de l'Etat Abdelaziz Bouteflika.
Ce dernier était retourné en Suisse où il avait déjà séjourné, après le
retour furtif au pays mercredi pour satisfaire à un engagement
protocole. Samedi, la présidence de la république a informé dans un
communiqué que « le président de la République d'Afrique du Sud, Jacob
Zuma, effectue les 14 et 15 avril 2013 une visite de travail en Algérie,
à l'invitation du président de la république Abdelaaziz Bouteflika. »
La télévision et les journaux publics ont fait comme si Zuma était à
Alger dès dimanche. « Le dialogue politique et la coopération
bilatérale, notamment dans son aspect relatif à la haute commission
binationale, seront au menu des entretiens entre le président Abdelaziz
Bouteflika et le président sud-fricain, Jacob Zuma, qui entreprend à
partir d'hier une visite de travail de deux jours en Algérie », a écrit
El Moudjahid dans son édition d'aujourd'hui. L'APS a rapporté ce matin
que « Jacob Zuma est arrivé tôt lundi matin à Alger pour une visite de
travail de deux jours. » Outre le chamboulement de l'agenda de son
invité, forcé à retarder son arrivée, les déplacements de Bouteflika en
Suisse déroutent aussi ceux qui s'occupent de la communication
présidentielle.
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C'est
le président du Sénat, Abdelkader Bensalah, qui a du satisfaire au
protocole ce lundi à l'occasion de la visite en Algérie du président
sud-africain Jacob Zuma. C'est lui qui l'a accueilli à son arrivée,
avant l'aube, à l'aéroport international d'Alger et c'est encore lui qui
l'a raccompagné dans l'après-midi, à l'issue de sa visite qui a été
écourtée.
Le chef de l'Etat, dont la charge présidentielle tend à
devenir un supplice, tant il est physiquement affaibli, s'est contenté
de recevoir son invité en audience et de lui offrir un déjeuner au
Palais du peuple. En moins d'une semaine, Bouteflika a effectué trois
déplacements en Suisse, certainement pour des raisons médicales. Depuis
longtemps déjà, il ne se déplace plus à l'étranger et, à présent, il
réduit sa mobilité à l'intérieur du pays. Lui qui affectionnait tant se
rendre aux conférences et forums internationaux, se retrouve contraint,
son troisième mandat finissant, à s'y faire représenter sinon par
Bensalah, sinon Sellal ou encore Tayeb Belaiz, le président du conseil
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Contrairement
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écrite, le président sud-africain, Jacob Zuma n'est arrivé à Alger que
tôt ce lundi matin. Une arrivée vraisemblablement décalée en raison de
l'indisponibilité, dimanche, du chef de l'Etat Abdelaziz Bouteflika.
Ce dernier était retourné en Suisse où il avait déjà séjourné, après le
retour furtif au pays mercredi pour satisfaire à un engagement
protocole. Samedi, la présidence de la république a informé dans un
communiqué que « le président de la République d'Afrique du Sud, Jacob
Zuma, effectue les 14 et 15 avril 2013 une visite de travail en Algérie,
à l'invitation du président de la république Abdelaaziz Bouteflika. »
La télévision et les journaux publics ont fait comme si Zuma était à
Alger dès dimanche. « Le dialogue politique et la coopération
bilatérale, notamment dans son aspect relatif à la haute commission
binationale, seront au menu des entretiens entre le président Abdelaziz
Bouteflika et le président sud-fricain, Jacob Zuma, qui entreprend à
partir d'hier une visite de travail de deux jours en Algérie », a écrit
El Moudjahid dans son édition d'aujourd'hui. L'APS a rapporté ce matin
que « Jacob Zuma est arrivé tôt lundi matin à Alger pour une visite de
travail de deux jours. » Outre le chamboulement de l'agenda de son
invité, forcé à retarder son arrivée, les déplacements de Bouteflika en
Suisse déroutent aussi ceux qui s'occupent de la communication
présidentielle.
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Publié le Lundi, 15 Avril 2013 20:52
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C'est
le président du Sénat, Abdelkader Bensalah, qui a du satisfaire au
protocole ce lundi à l'occasion de la visite en Algérie du président
sud-africain Jacob Zuma. C'est lui qui l'a accueilli à son arrivée,
avant l'aube, à l'aéroport international d'Alger et c'est encore lui qui
l'a raccompagné dans l'après-midi, à l'issue de sa visite qui a été
écourtée.
Le chef de l'Etat, dont la charge présidentielle tend à
devenir un supplice, tant il est physiquement affaibli, s'est contenté
de recevoir son invité en audience et de lui offrir un déjeuner au
Palais du peuple. En moins d'une semaine, Bouteflika a effectué trois
déplacements en Suisse, certainement pour des raisons médicales. Depuis
longtemps déjà, il ne se déplace plus à l'étranger et, à présent, il
réduit sa mobilité à l'intérieur du pays. Lui qui affectionnait tant se
rendre aux conférences et forums internationaux, se retrouve contraint,
son troisième mandat finissant, à s'y faire représenter sinon par
Bensalah, sinon Sellal ou encore Tayeb Belaiz, le président du conseil
constitutionnel.
Hamid Guerni
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Écrit par Hamid Guerni
Contrairement
aux sérénades de la télévision nationale et de la presse publique
écrite, le président sud-africain, Jacob Zuma n'est arrivé à Alger que
tôt ce lundi matin. Une arrivée vraisemblablement décalée en raison de
l'indisponibilité, dimanche, du chef de l'Etat Abdelaziz Bouteflika.
Ce dernier était retourné en Suisse où il avait déjà séjourné, après le
retour furtif au pays mercredi pour satisfaire à un engagement
protocole. Samedi, la présidence de la république a informé dans un
communiqué que « le président de la République d'Afrique du Sud, Jacob
Zuma, effectue les 14 et 15 avril 2013 une visite de travail en Algérie,
à l'invitation du président de la république Abdelaaziz Bouteflika. »
La télévision et les journaux publics ont fait comme si Zuma était à
Alger dès dimanche. « Le dialogue politique et la coopération
bilatérale, notamment dans son aspect relatif à la haute commission
binationale, seront au menu des entretiens entre le président Abdelaziz
Bouteflika et le président sud-fricain, Jacob Zuma, qui entreprend à
partir d'hier une visite de travail de deux jours en Algérie », a écrit
El Moudjahid dans son édition d'aujourd'hui. L'APS a rapporté ce matin
que « Jacob Zuma est arrivé tôt lundi matin à Alger pour une visite de
travail de deux jours. » Outre le chamboulement de l'agenda de son
invité, forcé à retarder son arrivée, les déplacements de Bouteflika en
Suisse déroutent aussi ceux qui s'occupent de la communication
présidentielle.
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C'est
le président du Sénat, Abdelkader Bensalah, qui a du satisfaire au
protocole ce lundi à l'occasion de la visite en Algérie du président
sud-africain Jacob Zuma. C'est lui qui l'a accueilli à son arrivée,
avant l'aube, à l'aéroport international d'Alger et c'est encore lui qui
l'a raccompagné dans l'après-midi, à l'issue de sa visite qui a été
écourtée.
Le chef de l'Etat, dont la charge présidentielle tend à
devenir un supplice, tant il est physiquement affaibli, s'est contenté
de recevoir son invité en audience et de lui offrir un déjeuner au
Palais du peuple. En moins d'une semaine, Bouteflika a effectué trois
déplacements en Suisse, certainement pour des raisons médicales. Depuis
longtemps déjà, il ne se déplace plus à l'étranger et, à présent, il
réduit sa mobilité à l'intérieur du pays. Lui qui affectionnait tant se
rendre aux conférences et forums internationaux, se retrouve contraint,
son troisième mandat finissant, à s'y faire représenter sinon par
Bensalah, sinon Sellal ou encore Tayeb Belaiz, le président du conseil
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